Découvrez nos motivations et nos choix pour une cosmétique intelligente et raisonnable en quelques épisodes !
La voici, extraite de l’Article 1 du règlement CE 1223/2009 :
« Toute substance ou tout mélange destiné à être mis en contact avec les parties superficielles du corps humain (épiderme, système pileux et capillaires, ongles, lèvres et organes génitaux externes) ou avec les dents et les muqueuses buccales, en vue, exclusivement ou principalement, de les nettoyer, de les parfumer, d’en modifier l’aspect, de les protéger, de les maintenir en bon état ou de corriger les odeurs corporelles. »
C’est donc en aucun cas un médicament !
Quand nous prenons un médicament, nous savons que nous absorbons une molécule pharmacologiquement active mais qui a aussi son potentiel de toxicité qui se décline dans la liste dites « Effets secondaires ». Si nous sommes obligés d’accepter les effets secondaires d’un médicament pour bénéficier aussi de son effet pharmacologique, nous ne devrions pas accepter une quelconque toxicité d’un cosmétique puisqu’il n’est pas un médicament.
Pourquoi prendre le risque de s’infliger des effets secondaires, pourquoi accepter d’absorber des molécules toxiques alors que nous ne sommes même pas malades !
Pour nettoyer ma peau, la maintenir en bon état voire la protéger, pourquoi prendrai-je le risque d’intoxiquer mon organisme ? … car, bien sûr, la toxicité des molécules ne s’arrête pas à l’organe sur lequel on les a appliquées et la durée des effets toxiques ne s’arrêtent pas non plus à la durée d’application du produit …
A bientôt pour la suite de notre cosméto-chronique !